KasatReskrim Polres Manokwari yang dikonfirmasi melalui Banit Pidum Briptu Saiful Aziz mengaku timnya telah menangkap dan mengamankan 2 terduga pelaku dalam dugaan kasus penggelapan uang kurang lebih senilai Rp.200 Juta. Dua orang terduga itu diantaranya pria berinisial MR (30) dan teman wanitanya BS (21). DitudingLakukan Penggelapan Uang Perusahaan, 1 Keluarga Gandeng YKAB, Kuasa Hukum : Kita Minta Keadilan dan Penangguhan Penahanan gaji oleh saudara Feri K dari awal bergabung di perusahaan tersebut sampai berhenti Febuari 2019 hanya dibayar dengan 1.200.000 dibawah gaji UMR,"kata Selain penganiayaan saudara Feri K juga telah menuduh I9ON. C’est le 14 juillet 1976 que le gouvernement de Pierre Elliott Trudeau abolit la peine capitale au Canada. Toutefois, au QuĂ©bec, c’est au mois de mars 1960, Ă  la prison de Bordeaux, que le dernier homme est envoyĂ© Ă  la potence. Voici sept crimes qui ont conduit Ă  la peine capitale Ă  QuĂ©bec. 1 David McLane Photo VallĂ©e Portrait and Landscape Photographer, Quebec. Vue Ă©loignĂ©e prise Ă  l'angle des rues Champlain et Petit-Champlain, vers 1870. BAnQ QuĂ©bec P1000, S4, D59, P34. À partir de l’étĂ© 1789 jusqu’au mois d’avril 1793, on parle abondamment de la RĂ©volution française dans les journaux de QuĂ©bec et de MontrĂ©al. Des discours du gouverneur sont aussi publiĂ©s chaque semaine pour dĂ©courager les plus hardis de se rebeller. De plus, des textes sont distribuĂ©s aux frais du gouvernement auprĂšs des magistrats, des capitaines de milice, des juges de paix et autres notables, les incitant Ă  dĂ©noncer ceux qui tiennent des propos contre l’autoritĂ© anglaise Ă©tablie. C’est ainsi que le 21 juillet 1797, David McLane, un marchand originaire de Providence au Rhode Island, est pendu Ă  QuĂ©bec aprĂšs avoir Ă©tĂ© reconnu coupable de trahison pour avoir fomentĂ© une insurrection chez les Canadiens français. Lors du procĂšs, six tĂ©moins comparaissent et incriminent l’accusĂ©. Pourtant, lors de son tĂ©moignage, celui-ci dit qu’il est venu au Canada seulement pour y vendre du bois. La dĂ©fense fait ressortir l’absurditĂ© du projet prĂȘtĂ© Ă  McLane ainsi que l’absence de preuves. NĂ©anmoins, le jury dĂ©clare McLane coupable. Les avocats de la dĂ©fense essaient de faire casser le jugement, car McLane est un Ă©tranger et il ne peut ĂȘtre accusĂ© de trahison. La demande est rejetĂ©e et le juge en chef de la province, William Osgoode, condamne David McLane Ă  ĂȘtre pendu et Ă©viscĂ©rĂ© vivant, pour avoir ensuite la tĂȘte et les membres sĂ©parĂ©s du corps. Il est exĂ©cutĂ© en dehors des murs de la ville au milieu d’une grande foule. 2 William Pounden Le 2 mai 1823, William Pounden assassine sauvagement sa belle-mĂšre, AgnĂšs Morrison, de plusieurs coups de marteau Ă  la tĂȘte. Avec l’aide des documents judiciaires de l’enquĂȘte et du procĂšs conservĂ©s Ă  BAnQ QuĂ©bec, il nous est possible de retracer le cours des Ă©vĂ©nements. Photo VallĂ©e, Quebec. La rue d’Auteuil et l’Esplanade, juillet 1872. BAnQ QuĂ©bec P1000, S4, D59, P18. Le 2 mai, le corps est dĂ©couvert peu aprĂšs midi, dans un fossĂ© entre les murs des fortifications et le glacis, Ă  l'arriĂšre de l'Esplanade. C’est un caporal de l’armĂ©e qui en fait la macabre dĂ©couverte. Plan relatif Ă  la dĂ©couverte du corps Ă  proximitĂ© de la rue St-Louis, 1823. BAnQ QuĂ©bec TL31, S26, SS1, D14. Lors de l’enquĂȘte, William Pounden tĂ©moigne qu’il a agi sous l’influence de l’alcool et que son geste Ă©tait non prĂ©mĂ©ditĂ©. À la fin de son procĂšs, il est reconnu coupable de meurtre. Il est finalement pendu le 8 octobre 1823 Ă  la prison situĂ©e dans l’actuel Morrin Center. La potence Ă©tait alors fixĂ©e Ă  la fenĂȘtre situĂ©e au-dessus de la porte centrale de l’édifice. Photo Fred C. WĂŒrtele Le Morrin College sur la rue Saint-Stanislas dans le quartier Vieux-QuĂ©bec, mai 1902. BAnQ QuĂ©bec P546, D3, P19. 3 George Schmitt Le 7 fĂ©vrier 1874, George Schmitt, 17 ans, tue Patrick O’Brien, ĂągĂ© de 19 ans. À l’époque, l’évĂ©nement se dĂ©roule dans l’auberge tenue par Raymond Drolet sur le chemin Sainte-Foy. Selon plusieurs tĂ©moins, Ă  son arrivĂ©e, George Schmitt est accompagnĂ© d’une prostituĂ©e et d’un autre homme. Au courant de la soirĂ©e, on dit Ă©galement qu’ils boivent de façon excessive. Alors que Patrick O’Brien se tient au bar, Schmitt, complĂštement intoxiquĂ©, commence Ă  l’invectiver en l’accusant d’avoir fait tomber le manchon de sa compagne qu’elle avait laissĂ© au bar. C’est alors que la victime lui dit de se calmer. Les deux hommes en viennent Ă  se battre. Pendant la bagarre, Schmitt sort un pistolet. Il tire sur la victime qui est mortellement atteinte Ă  la tĂȘte. Patrick O’Brien dĂ©cĂšde dans le courant de la nuit. Document dans lequel Georges Schmitt est accusĂ© du meurtre de Patrick O’Brien, avril 1874. BAnQ QuĂ©bec TP9, S1, SS1,SSS1, D9. George Schmitt est arrĂȘtĂ© le 9 fĂ©vrier. Il subit un procĂšs et on le condamne Ă  la peine capitale. Il doit ĂȘtre pendu le vendredi 26 juin 1874. Toutefois, le 30 mai 1874, sa sentence est commuĂ©e en un emprisonnement Ă  vie. Document dans lequel Georges Schmitt est accusĂ© du meurtre de Patrick O’Brien, avril 1874. BAnQ QuĂ©bec TP9, S1, SS1, SSS1, D9. Pour en savoir plus, vous pouvez aussi consulter les registres d’écrou de la prison de QuĂ©bec. 4 Nathaniel Randolph Fritz Dubois Dessin de l’accusĂ© avant son exĂ©cution. Journal Le canadien, 20 juin 1890, Le 23 fĂ©vrier 1890, Nathaniel Randolph Fritz Dubois assassine toute sa famille femme, enfants et belle-mĂšre Ă  coups de hache dans la maison familiale, pour ensuite jeter leurs corps Ă  la cave. AprĂšs son crime abject, il s’enfuit, mais il est rattrapĂ© par le juge de paix Damase Naud. À ceux qui l’arrĂȘtent, il leur dit qu’il a fait un mauvais coup et qu’il en est bien content. Le procĂšs de Dubois a lieu du 17 au 23 avril 1890 au palais de justice de QuĂ©bec. La dĂ©fense tente de plaider la folie et la provocation, mais sans succĂšs. Photo J. E. Livernois Photo. Ancien palais de justice dans le Vieux-QuĂ©bec, vers 1870. BAnQ QuĂ©bec P560, S2, D3, P21. Dubois est reconnu coupable des meurtres. Il est pendu le 20 juin 1890 Ă  la prison de QuĂ©bec. La dĂ©pouille de Dubois est inhumĂ©e dans le cimetiĂšre protestant de Mount Hermon de QuĂ©bec. 5 EugĂšne Bigaouette Photo Philippe Gingras Prison de QuĂ©bec, vers 1895. BAnQ QuĂ©bec P585, D9, P10. EugĂšne Bigaouette, 41 ans, avait planifiĂ© son geste. C’est le 23 novembre 1925 qu’il assassine sa mĂšre de 78 ans, Marie-Anne Boivin. EugĂšne est le fils cadet de la victime. À 41 ans, il habite encore la demeure familiale. Les gens de son entourage le considĂšrent comme un individu aux comportements Ă©tranges. Avant la mort de sa mĂšre, EugĂšne Bigaouette l’accompagne Ă  la banque pour faire transfĂ©rer tout son argent dans un seul compte. En tout, elle possĂšde quelques milliers de dollars. Il s’agit de l’hĂ©ritage qu’elle laisse Ă  EugĂšne Ă  sa mort. Bigaouette obtient du notaire une autorisation pour vendre les meubles de la succession ainsi qu'une procuration de la Banque Royale de QuĂ©bec, indiquant que le compte bancaire allait lui ĂȘtre transfĂ©rĂ© aprĂšs la mort de sa mĂšre. Le 23 novembre 1925, EugĂšne Bigaouette tue sa mĂšre par strangulation dans la maison familiale. Lorsqu'il est arrĂȘtĂ© et qu'on lui apprend qu'il doit comparaĂźtre devant la justice, il dĂ©clare J'aurais-t-y mon argent ensuite?» DĂ©clarĂ© coupable, c’est le 19 aoĂ»t 1927 qu’EugĂšne Bigaouette est pendu Ă  la prison de QuĂ©bec. 6 David DubĂ© Dans les annĂ©es 1890, Thomas Adam Mooney s’installe avec son Ă©pouse, Margaret Charters, Ă  Saint-Dunstan, aujourd’hui la municipalitĂ© de Lac-Beauport. Photo Pfeiffer Lac Beauport, vers 1890. BAnQ QuĂ©bec P600, S6, D5, P241. Mooney s’absente rĂ©guliĂšrement pour travailler Ă  la construction de chemins de fer dans la rĂ©gion de MontrĂ©al. Pour ne pas laisser sa femme s’occuper seule de la maison, il engage un jeune homme pour faire des travaux d’entretien sur la propriĂ©tĂ©. Il s’agit de David DubĂ©. Portrait de David DubĂ© publiĂ© dans le quotidien Le Soleil de QuĂ©bec, 6 juillet 1900, p. 1. Ils entretiennent une relation en l’absence de Mooney. Lorsque la victime revient chez lui, c’est Ă  leur plus grand dĂ©plaisir. Seul DubĂ© est accusĂ© du meurtre de Mooney. Il a d’ailleurs mentionnĂ© Ă  plusieurs reprises qu’il s’occuperait» de lui s’il revenait. Le motif ne peut ĂȘtre Ă©noncĂ© plus clairement. Pendant son procĂšs, DubĂ© reconnaĂźt avoir agressĂ© la victime, mais il refuse d’admettre qu’il a portĂ© le coup fatal. David DubĂ© est finalement condamnĂ© Ă  la pendaison pour le meurtre prĂ©mĂ©ditĂ© de Mooney. Il est pendu dans la cour de la prison de QuĂ©bec le 6 juillet 1900. Il avait tout juste 19 ans. 7 Honorat Bernard Mardi le 26 janvier 1937 dans le quotidien Le Soleil. Sur le théùtre du drame de la rue St-Jean», Le 24 janvier 1937, Honorat Bernard et Arthur Fontaine s’échappent de la prison provinciale de QuĂ©bec. Avant de partir, ils volent cinq revolvers Ă  leurs gardiens. À la radio, on rĂ©pand rapidement la nouvelle. Pendant 24 h, la population est sur le qui-vive. C’est grĂące Ă  une dĂ©lation que les criminels sont finalement retrouvĂ©s dans une maison de chambres de la rue Saint-Jean, situĂ©e Ă  l’époque au 547. Une escouade de policiers dĂ©barque sur les lieux vers 17 h. AprĂšs avoir visitĂ© toute la maison, les policiers se dirigent vers le sous-sol. La porte de la chambre est fermĂ©e Ă  clĂ©. AprĂšs plusieurs sommations, les policiers passent Ă  l’action. Alors qu’un policier vient pour enfoncer la porte, celle-ci s’ouvre subitement et plusieurs coups de feu sont tirĂ©s. Le dĂ©tective LĂ©opold ChĂąteauneuf est atteint mortellement. Son compagnon, le dĂ©tective Aubin, tire sur Arthur Fontaine et l’abat. Sa mort met un terme Ă  la confrontation. C’est alors que les policiers s’aperçoivent que Honorat Bernard s’est enfui. Le criminel se rĂ©fugie prĂšs de Neuville, dans la maison d’Arthur Noreau. AprĂšs en avoir chassĂ© ses occupants, Bernard se barricade dans la maison. Les policiers sont informĂ©s de la situation par le propriĂ©taire de la maison. Ils se rendent alors sur les lieux, armĂ©s jusqu’aux dents. AprĂšs plusieurs pourparlers, le criminel se rend finalement Ă  la police le 27 janvier. AprĂšs son procĂšs, il est condamnĂ© Ă  la peine de mort par pendaison pour le meurtre du dĂ©tective LĂ©opold ChĂąteauneuf. C’est le 9 juillet 1937 qu’il est pendu Ă  la prison de QuĂ©bec. C’est la derniĂšre exĂ©cution au QuĂ©bec Ă  l’extĂ©rieur de MontrĂ©al. Un texte de Catherine Lavoie, technicienne en documentation, BibliothĂšque et Archives nationales du QuĂ©bec Vous pouvez consulter la page Facebook de BibliothĂšque et Archives nationales du QuĂ©bec BAnQ en cliquant ici et son site web en vous rendant ici. Vous pouvez Ă©galement lire nos textes produits par la SociĂ©tĂ© historique de QuĂ©bec en cliquant ici. Sources Claude Galarneau, McLANE, DAVID», dans Dictionnaire biographique du Canada, vol. 4, UniversitĂ© Laval/University of Toronto, 2003, Nicole-Labrie, Luc. David DubĂ© et le meurtre de Saint-Dunstan, 1899-1900.» dans Histoire engagĂ©e. Veillette, Éric. L’affaire Dubois la gravitĂ© du geste entraĂźne-t-elle un plaidoyer de folie» dans Historiquement Logique! Journal Canadian spectator, le mercredi 8 octobre 1823, Article sur le crime de William Pounden 10 fĂ©vrier 1874. Le Journal de QuĂ©bec, Article sur le crime de Georges Schmitt 9 fĂ©vrier 1874, Le Courrier du Canada, Article sur le meurtre de Patrick O’Brien 30 mai 1874, Morning Chronicle, Article sur la clĂ©mence accordĂ©e Ă  Georges Schmitt 18 fĂ©vrier 1890, Le Canadien, L’affaire Dubois et le crime de Saint-Alban La Presse, le 19 aoĂ»t 1927, Article sur le crime d’EugĂšne Bigaouette et son exĂ©cution Le Soleil, le vendredi 6 juillet 1900, Article sur la description de l’exĂ©cution de David DubĂ©. Le Soleil, le mardi 26 janvier 1937, Bataille au revolver dans un sous-sol de la rue Saint-Jean - Konsekuensi hukum tindak pidana penggelapan diatur secara tegas dalam pasal 372 Kitab Undang-Undang Hukum Pidana KUHP. Pasal tersebut mengatur mulai dari definisi penggelapan itu sendiri hingga hukuman yang dapat diterima oleh sendiri adalah landasan penegakan hukum pidana di Indonesia. KUHP terbagi menjadi dua bagian yaitu hukum pidana materiil dan hukum pidana formil. Hukum pidana materiil berkaitan dengan tindak pidana, pelaku tindak pidana, dan pidana saksi. Sementara hukum pidana formil adalah hukum yang mengatur pelaksanaan hukum pidana yang berlaku di Indonesia pada mulanya berasal dari hukum Kolonial Belanda, yaitu Wetboek van Strafrecht voor Nederlandsch-Indie. Setelah kemerdekaan Indonesia, KUHP tetap dijalankan dengan penyelarasan berupa pencabutan pasal-pasal yang tidak lagi Ketentuan Peralihan Pasal II UUD 1945 ditegaskan bahwa “Segala Badan-Badan Negara dan Peraturan-Peraturan yang ada sampai berdirinya Negara Republik Indonesia pada tanggal 17 Agustus 1945, selama belum diadakan yang baru menurut Undang-Undang Dasar masih berlaku asal saja tidak bertentangan dengan Undang-Undang Dasar tersebut.” Aturan-aturan KUHP dibagi dalam tiga buku, yaitu Buku I, Buku II, dan Buku III. Buku I tentang Aturan Umum melingkupi Pasal 1 hingga Pasal 103. Buku II tentang Kejahatan melingkupi Pasal 104 hingga Pasal 488. Sementara, Buku III tentang Pelanggaran melingkupi pasal 489 hingga Pasal 596. Adapun pasal-pasal hukum pidana yang dibahas dalam KUHP antara lain adalah pemalsuan, perzinaan, pemerkosaan, perjudian, pencemaran nama baik, penganiayaan, pencurian, hingga penggelapan. Isi Pasal 372 KUHP Tentang Penggelapan dan Penjelasannya Persoalan tentang penggelapan dibahas dalam Buku II KUHP tentang kejahatan. Dikutip dari arsip Kejaksaan Negeri Kejari Sukoharjo, pasal 372 KUHP yang berbunyi “Barangsiapa dengan sengaja memiliki dengan melawan hak sesuatu barang yang sama sekali atau sebagainya termasuk kepunyaan orang lain dan barang itu ada dalam tangannya bukan karena kejahatan, dihukum karena penggelapan, dengan hukuman penjara selama-lamanya empat tahun.”Pasal 372 KUHP merumuskan definisi tentang penggelapan yang merupakan kepemilikan yang melawan hak terhadap barang kepunyaan orang lain. Dikutip dari bagian inti delik atau tindak pidana penggelapan yang diatur dalam Pasal 372 KUHP adalah sebagai berikut Pertama sengaja; Kedua melawan hukum; Ketiga memiliki suatu barang; Keempat yang seluruhnya atau sebagian kepunyaan orang lain; Kelima yang ada dalam kekuasaannya bukan karena kejahatan. Istilah penggelapan menurut Lamintang dan Djisman Samosir diartikan sebagai “penyalahgunaan hak” atau “penyalahgunaan kekuasaan.” Penggelapan adalah jenis kejahatan yang mirip dengan pencurian yang dibahas dalam Pasal 362. Penggelapan berbeda dengan pencurian. Pada kasus pencurian, barang yang dimiliki itu masih belum berada di tangan pelaku dan masih harus diambilnya. Sementara pada penggelapan, barang yang dimiliki itu sudah berada di tangan pelaku dan didapatnya tidak dengan tindak kejahatan. Menurut KUHP tidak pidana penggelapan dibagi menjadi lima macam, yaitu Tindak pidana penggelapan dalam bentuk pokok. Tindak pidana penggelapan ringan. Tindak pidana penggelapan dengan unsur-unsur yang memberatkan. Tindak pidana penggelapan oleh wali dan lain-lain. Tindak pidana penggelapan dalam keluarga. Baca juga Isi Pasal 30 UU ITE Tentang Peretasan Berapa Tahun Hukumannya? Isi Pasal 406 KUHP Ayat 1-2 Tentang Perusakan Barang & Sanksinya Isi Pasal 335 KUHP Tentang Perbuatan Tidak Menyenangkan & Sanksinya - Hukum Kontributor Muhammad Iqbal IskandarPenulis Muhammad Iqbal IskandarEditor Yonada Nancy

hukuman penggelapan uang 200 juta